Index de l’égalité professionnelle

Une politique de mixité ancrée au sein de Semardel

Notre politique menée depuis plus de 8 ans, a permis de faire émerger une culture de la mixité, partagée par l’ensemble des collaborateurs, femmes et hommes de Semardel et ses filiales.

Semardel : 86 points

Écarts de rémunération33/40
Écarts d’augmentations individuelles35/35
Pourcentage de salariés augmentés au retour de congé maternitéIncalculable (*)
Nombre de salariés du sexe sous représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations5/10
Total86 points / 100

(*) Abscence de retour de congé maternité

Pole UI : 82 points

Écarts de rémunération37/40
Écarts d’augmentations individuelles25/35
Pourcentage de salariés augmentés au retour de congé maternité15/15
Nombre de salariés du sexe sous représenté parmi les 10 plus hautes rémunérations5/10
Total82 points / 100

Un score au-dessus du seuil

Notre très bon score traduit les résultats des différentes actions menées par Semardel au quotidien depuis des années en faveur de l’égalité professionnelle et de la mixité et ce quelle que soit la taille de nos filiales.

Début 2021, un nouvel accord groupe a été signé, avec les partenaires sociaux, pour promouvoir l’Égalité professionnelle et la qualité de vie au travail.

Par ces actions, nous contribuons notamment à inciter l’ensemble des entités de Semardel à prendre des mesures pour réduire l’écart salarial, entre les femmes et les hommes pour un même travail.

Qu’est-ce que l’Index de l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes ?

Chaque année avant le 1er mars, les entreprises d’au moins 50 salariés doivent calculer et publier sur leur site internet leur Index de l’égalité femmes-hommes.

Elles doivent également le communiquer, avec le détail des différents indicateurs, à leur Comité Social et Economique (CSE) ainsi qu’à l’inspection du travail (Direccte).

L’Index, sur 100 points, se calcule à partir de 4 à 5 indicateurs selon que l’entreprise fait moins ou plus de 250 salariés :

  • L’écart de rémunération femmes-hommes,
  • L’écart de répartition des augmentations individuelles,
  • L’écart de répartition des promotions (uniquement dans les entreprises de plus de 250 salariés),
  • Le nombre de salariées augmentées à leur retour de congé de maternité,
  • La parité parmi les 10 plus hautes rémunérations.

Les entreprises qui n’ont pas obtenu, la note minimale de 75 sur 100, disposent de 3 ans pour l’atteindre. En cas d’échec, elles s’exposeront à une amende pouvant aller jusqu’à 1% de leur masse salariale.